Qui suis-je ?
QUELLE ASTROLOGIE ?
Astrologie tropicale
Je suis tenant d’une astrologie tropicale traditionnelle et symboliste, héritière de Claude Ptolémée, c’est-à-dire basée sur les saisons.
Archétypes mythologiques et psychanalyse
L’astrologie tropicale, basée sur les signes et les tempéraments saisonniers, offre la possibilité de mettre le thème de naissance en relation avec l’énergétique psychique, c’est-à-dire l’énergie créée par la confrontation des forces inconscientes aux forces conscientes.
En outre, l’astrologie traditionnelle propose une dialectique autour des symboles ouvrant sur le monde des archétypes de JUNG et de l’inconscient collectif.
Le décryptage de ces symboles, et des mythes auxquels ils sont associés, autorise une compréhension des mécanismes énergétiques psychiques inconscients qui amènent l’individu à vivre des schémas répétitifs dans sa vie ainsi qu’une description de son mode de fonctionnement (habitudes, réflexes, mécanismes de défense).
Astrologie mondiale et histoire
De part ma formation d’historien, c’est tout naturellement vers le cycle des astres et leurs corrélations avec les événements historiques que je suis porté à spécialiser ma réflexion personnelle.
MON PARCOURS
HISTOIRE : Passionné d’histoire, j’ai suivi pendant un peu plus de 10 ans un parcours universitaire à la faculté d’histoire de Poitiers avant de me spécialiser en tant qu’étudiant chercheur à l’étude des civilisations médiévales au CESCM (Centre d’Études Supérieures de Civilisations Médiévales rattaché au CNRS) sous la direction de Martin AURELL.
ASTROLOGIE : C’est principalement à AGAPÉ Paris (Association Générale des astrologues psycho-professionnels européens) « L’École » française d’astrologie, que j’ai été formé aux techniques astrologiques, à la psychanalyse et au métier de consultant en astro psychologie.
ASTROLOGIE PHILOSOPHIE ET MÉTAPHYSIQUE
Quelle est dans l’être la part du libre arbitre et de prédétermination ?
Il reviendrait à l’astrologue, plus que quiconque, de prendre part à cette réflexion existentielle qui a été tour à tour enrichie par le zoroastrisme, le platonisme, l’aristotélisme, l’augustinisme, la scolastique …
Faute d’avoir pris sa place à ce débat, l’astrologue a bien souvent manqué des rendez-vous avec l’Histoire, se laissant soit cantonné à une pratique populaire, soit divisé entre une pratique licite et une autre illicite aux yeux d’une église inquiète.
En l’absence de penseurs d’envergure, l’astrologie sera vilipendée par l’Église jusqu’à la condamnation la plus arbitraire et la plus obscurantiste.
Paradoxalement, au-delà des condamnations les plus véhémentes, c’est aussi à des grands clercs intellectuels que l’Astrologie devra sa synthèse la plus aboutie sur la question du destin et du libre arbitre avec la scolastique au XIIIe siècle :
La lecture astrologique est une école de sagesse qu’enfantent le temps et la patience ! Elle impose humilité et respect envers les forces du destin, ce que déjà les Grecs appelaient la Moira, part ou lot de bien et de mal propre à chaque individu, ou aussi le Destin que personnifient les 3 Moires (Clotho, Lachésis et Atropos).
Finalement l’astrologie ne serait-elle pas tout simplement l’outil qui éclaire notre destin par le libre arbitre ?
Montesquieu a pu écrire de la liberté, qu’elle est le droit de faire tout ce que les lois autorisent.
L’astrologue ne serait-il pas celui qui pourrait affirmer que le libre arbitre est de faire tout ce que notre destin permet ?
Entre les mécanismes inconscients et la capacité à élaborer une conscience supérieure, l’Homme a cette voie de Liberté dont il peut s’emparer en cherchant à intégrer aussi bien sa part d’ombre que ses talents pour les transcender en Création.
Le rythme des planètes et les expériences qu’elles nous proposent de vivre donnent le tempo de cette force créatrice. Quand l’individu comprend cela alors, il devient sage :
